LA DETTE

Par Henri Fouquereau,

D’abord légère comme un petit vent rasant la Terre Puis doucement, vous la voyez surgir Elle se dresse, enfle, s'enfle en grandissant. Le mal est fait ; pianissimo, elle chemine, elle s'avancede portefeuille en compte en banque, elle « s'ussure » encore puis sforzando elle s'élance et rien ne l'arrête c'est la foudre, c'est la tempête

VOICI LA DETTE

Tellement monstrueuse, que nous sommes dans l'obligation d'établir une sorte de bilan :

L'endettement public, celui des entreprises et celui des ménages, dans le monde, dépassent désormais les 400 000 milliards de dollars.

D'autres chiffres multiplient ces 400 000 milliards par plus de trois

Est-ce grave Docteur ?

Résumons en établissant notre bilan : deux colonnes :

Première : 400 000 milliards d’endettement,

Seconde : 87 752 milliards montant du PIB mondial.

Un commissaire aux comptes chiffre l'endettement à 14 fois le PIB mondial, chiffres qui semblent réalistes soit 1 228 528 000 milliards, hors produits dérivés (710 000 milliards)

Voici la version officielle, affirmons tout de suite qu'elle ne sert à rien : l'endettement d'un Etat ne peut être remboursé en se basant sur le PIB, mais sur le budget dont le montant n'équivaut à peu près qu'à 15% du PIB. Environ 13 000 milliards de dollars pour le monde. Nous devons nous poser une question : Comment les Etats pourront-ils rembourser 250 000 milliards (endettement des Etats, fruit de leurs dépenses) avec 13 000 milliards de recettes ? IMPOSSIBLE

Pourtant nous allons devoir trouver une solution : Dépensent-ils trop ou ne reçoivent-ils pas assez de recettes ? Enorme équation à résoudre Nous pouvons déjà constater une chose : Pratiquement tous les Etats dépensent plus qu'ils ne reçoivent chaque année. Ce qui supprime toute capacité de rembourser quoi que ce soit et qui oblige les Gouvernants à emprunter sans cesse et de plus en plus.

Pour les entreprises, les sommes dues laissent à penser que nombre d'entre elles ne seront jamais en mesure de rembourser, que nombre d'entre elles vont disparaître, d'où le risque de voir des banques en grande, très grande difficulté.

Pour ce qui est de la situation des ménages : l'obligation de rembourser, lorsque la chose sera possible, ne permet pas d'envisager une véritable période de croissance économique.

L'endettement des ménages se divise en deux : les emprunts pour des achats immobiliers, ce qui laisse une garantie, et l'épargne sur livret assurance vie etc. qui risque d'être happée par le besoin, des Etats qui devront rembourser leur endettement.

Apportons trois éléments arrivés à notre connaissance des jours derniers :

-Une recommandation de la BCE (N° BCE /2020/35 du 27 juillat 2020 qui demande aux établissements financiers de ne pas verser de dividendes en espèces (certains établissements délivrent à la place des actions ou parts sociales (le retraité devra se nourrir de papier) -Retraites – gel des pensions

Complémentaires pendant un an, Agirc et Arrco ne revaloriseront pas la valeur du point d'où une perte du pouvoir d'achat (à cause de l'inflation)

-Tertio : un fond de pension (BP-CE) en grande difficulté, retraités là aussi vous perdrez beaucoup

Ce que je nomme « la distribution des bons de la semeuse » a démarré.

La rente perpétuelle, vers laquelle ces affaires nous entraînent, est une attrape nigaude, une entreprise de dépossession

« Que vous êtes joli, que vous me semblez beau »

Avant d'envisager quelques solutions, rappelons la question que chacun devrait se poser plutôt que de se cacher la tête dans le sable : Comment en sommes-nous arrivés là ?

Le mal, provient d'abord de l'hyperglobalisation dans laquelle certains politiques nous ont entraînés. En France, ce sont surtout François Mitterrand et Pierre Bérégovoy qui ont précipité la France vers son naufrage, ajoutons à cette hérésie, la loi Delors de 1984 qui a totalement déréglementé le système bancaire en permettant l'association, banque de détails et banques d'affaires. Deux métiers pourtant différents, même erreur que la banque assurance, deux formations opposées.

Que des pseudos socialistes, élus comme tels, se soient convertis au néo libéralisme et en est fait appliquer les règles sans rien dire et sans remettre leurs mandats en question est une félonie vis à vis de leurs électeurs, un acte de trahison – Chacun peut se tromper MAIS l'électeur qui a choisi, une certaine façon d'être gouverné ne doit pas être trahi. François Mitterrand aurait pu écrire : mon mandat se termine aujourd'hui même, ce qui ne devait pas l'empêcher de se représenter à une Présidentielle avec un programme différent. Aux électeurs de choisir.

Oui, mais cela est réservé aux grands hommes. Dénationaliser les entreprises stratégiques, accélérer les délocalisations sans protéger nos sociétés : faire fabriquer là où c'est le moins cher et vendre là ou il y a du pouvoir d'achat est plus facile sur le moment. L’élu a porté c'est un coup terrible au monde du travail, aux contribuables et à l'Etat. Vu les compètences de Mitterrand et de Bérégovoy en la matière, rien d'étonnant, mais Delors ? LUI SAVAIT

Cette pratique a été non seulement contraire à toute logique, mais de plus elle été infiniment vicieuse : faire acheter par les employés du monde occidental des produits fabriqués ailleurs, a fait de ces employés les complices des destructeurs de leurs propres emplois, de leurs propres usines, de l'Etat protecteur qu'ils avaient aidé à construire pour éloigner d'eux la misère, la faim, la soif, la maladie non soignée et la retraite non assurée était quand même inadmissible et vicieux.

Cotisations sociales en moins, chômeurs supplémentaires = déficits du budget des URSSAF. Pour 2020, ce déficit sera de prés de plus de 50 milliards, qui va payer et avec quoi ?

Recettes fiscales en moins, le déficit du budget de l'Etat sera d'environ 230 milliards en 2020, qui va payer et avec quoi ?

Les achats de produits exotiques fabriqués à bas prix dans des pays ou l'homme est exploité par d'autres hommes= un déficit de la balance des paiements. Pour 2020 le déficit devrait s'élever à 100 milliards, qui va payer et avec quoi. Colbert revient, ils sont devenus fous.

Petit rappel : le budget de 2020 avoisinera les 400 milliards et il est déjà mangé par les 3 déficits énoncés ci-dessus.

Pour l'instant, une seule solution est pratiquée : emprunter les sommes que représentent ces déficits pour que l'Etat puisse continuer à fonctionner. Oui mais aprés, comment ferons-nous ?

La facilité amènera le politique à couper dans les dépenses, or ce sont les recettes qu'il faut augmenter, c'est à dire la production, c'est à dire la distribution

Ce n'est pas tout, il y a aussi les plans de relance qu'il faudra financer, car pour l’instant, emprunts, création monétaire venant de la BCE, des milliers de milliards de dettes laissés à nos successeurs, sans les recettes. Nous condamnons donc les générations suivantes

Nos ressources budgétaires n'atteignent que 250 milliards, nos dépenses 400. La différence ne peut donc provenir que de l'emprunt en grande partie fabriqué par la création monétaire.

Bien se dit Bazille, le naïf de service, si l'on peut fabriquer de l'argent pourquoi s'en priver ? Fabriquons, fabriquons.

Sauf que : le système européen fait que 40% de ces dettes sont rachetées par la Banque Centrale Européenne, sise à Francfort sur le Main, là-bas en Allemagne et que le créancier devient toujours le Maître du débiteur /Cette BCE va inéluctablement demander un jour son du et : : Qui va payer et avec quoi ? Attention c'est le patrimoine de la France qui est apporté en garantie, alors c'est ce Patrimoine qui nous sera pris pour payer les dettes.

Jean Michel Naulot, ancien de l'autorité des marchés financiers, a écrit un livre en 2013 : Eviter l'effondrement avec lequel il prévenait des dangers.

A t-il été écouté ? NON et aujourd'hui, il est déjà trop tard : les injections massives de liquidités et les taux zéro pratiqués pendant trop longtemps ont fait que les investissements à risques, (spéculation) se sont multipliés, que la spéculation a été privilégiée par rapport à la production, une des raisons de notre naufrage.

Aussi, le moindre vent qui d'aventure, chacun connaît la fable. Il a fait plier le roseau , normal, mais il déracine le chène. Or, un pays qui perd ses racines est un pays privé d’avenir.

 

Dérègulation, interdiction d’interdire, laisser fairisme – je cite un exemple donné par un grand journal : un fond qui ramasse l'épargne pour le gérer a fait gagner 485% en 6 années, alors que la concurrence avait gagné 20% seulement et personne ne s'est étonné de rien ?

Pourtant, Noël ce n'est pas tous les jours. Résultat :

l'affaire était trop bonne pour être honnète, le clache s'est produit, et des dizaines de milliers d'épargnants français, voient leur épargne bloquée, les retraites se sont envolées.

MAIS QUI REND COMPTE DE CETTE CATASTROPHE -Trés peu, alors qu'il s'agit d'une escroquerie.

De plus, cet argent qui aurait du servir à financer de la production, n'a servi qu'à la spéculation sans que les clients le devinent.

Les hommes de l'art en matière d'argent sale, de produits spéculatifs auraient du comprendre et avertir que l'argent finançait des stés dont le patron, un homme d'affaires allemand, avait déjà eu maille à partir avec la justice pour des faits similaires.

Il utilise une arnaque qui utilise la technique que peu connaissent : les obligations achetées ne sont pas liquides, donc on ne peut les retirer rapidement alors que d'autres sont ouverts et permettent aux clients de récupérer rapidement leur argent.

Le risque n'a pu passer inaperçu, alors pourquoi les « conseils » ont-ils incité leurs clients à acheter ce papier qui ne pouvait que ruiner ses possesseurs ?

Résultat ; L’argent a disparu, et ne sera jamais retrouvé, mais les « conseils » eux ont bien touché leur commission.

Deux grosses banques françaises sont impliquées dans cette affaire, mais bon sang, revenons aux fondamentaux : laissons faire les hommes de l'art – de tels rendements auraient alerté n'importe quel spécialiste

Autre problème les achats de créances rendus obligatoires par la BCE

Attention, les banques centrales nationales reçoivent les ordres d'achats de la BCE : vous devez acheter tant, puis circulez il n'y a rien d'autre à voir. Ni cherchez ni la qualité, ni le bien fondé, seul compte le volume des achats. Mais qui va rembourser et avec quoi ?

Acheter les créances des Etats et des entreprises, bien MAIS, est ce que le fonctionnaire sis à Francfort sur le Main est en capacité de savoir si telle entreprise oeuvrant dans la fin fond de l'Espagne ou de tel ou tel Etat membre, gère son entreprise en bon Père de famille ?

Seule l'agence installée sur place peut le savoir même si de temps en temps elle tombe sur quelques escrocs bien affûtes.

Faire acheter des créances de stés inconnues par des banques est une énorme erreur qui défie le métier de banquier. Résultat les banques sont remplies de créances douteuses, pire, irrécouvrables dont le montant est mélangé avec nos dépôts. Oui bien sûr, la garantie, mais qui peut garantir les dépôts de banques dont le montant du bilan est supérieur au PIB du pays ? La naïveté ne doit pas supplanter le bétise

Alors une fois encore : Qui va payer et avec quoi ? Prèter beaucoup et à taux zéro, le pli est pris, comment faire accepter plus tard une méthode plus onéreuse lorsqu'il faudra imposer des solutions ?

Que d'erreurs ont été commises qui nous ont amenés à cette situation : En 1973, des économistes français fustigeaient les entreprises qui ne voulaient pas se délocaliser. « Vous devez suivre la voie américaine et faire fabriquer dans le tiers monde ». « Investissez votre argent dans le tiers monde, hurlaient-ils » : Ils ont été obéi et l'épargne française a financé la faillite des entreprises françaises restées sur le territoire national, quant à la partie investie à l'étranger, nous aurons le plus grand mal à la rapatrier.

Pourquoi avoir séparé les lieux de production des lieux de consommation ? Pour effacer le savoir-faire, perdre nos brevets, notre argent, nos emplois, installer les émergents à notre place et prendre la leur ? Car c'est cela qui a été réalisé, il suffit de lire le rapport accablant qui vient de sortir sur la pauvreté en France.

Des pertes, plus d'autres pertes = plus de dettes et la dette est venue compenser les manques d'argent. Elle assume le rôle de boucheur de trous et non plus de payeur en dernier ressort. Seulement chacun sait, même les forts en thèmes, du moins espérons-le, que cela ne peut durer, sauf à faire disparaître ce moyen de paiement et de revenir aux coquillages, os, et autres fanfreluches.

Nous avons, sur le court terme, exporté nos ingénieurs.

A quelques-uns, mais quelques-uns seulement nous avions prévenu : que cela, sur le moyen terme, se traduirait par la mise au chômage de millions de personnes, nous avions transmis les recommandations de ceux qui savaient : Attention à la destruction de notre savoir-faire,

Ne vous inquiétez pas, nous garderons toujours le haut de gamme, la valeur ajoutée, affirmaient nos décideurs. Et oui, quelques décennies plus tard, les ateliers du monde, installés par ces mêmes décideurs dans des pays émergents, sont devenus les laboratoires du monde, et nous payons aujourd’hui, le montant de la valeur ajoutée qui enrichit désormais les autres pays. Nous avons investi, fourni le nécessaire, abandonné notre savoir-faire, et l'autre rafle en plus la mise. Naïveté où ? Nous sommes en droit de nous poser des questions.

Autre erreur : un tiers des diplômes de l'enseignement supérieur sont Chinois et Indiens et détiendront 50% des diplômes dans 10 ans. Merci aux pays occidentaux, sauf que, dans le même temps, nous avons été dans l'incapacité de former nos propres enfants dont le niveau, dans nos écoles, baisse drastiquement

Posons-nous la question : naïveté de la part de nos dirigeants, où bien corruption ? IL VA FALLOIR TRANCHER

L'industrie qui dominait disparaît, les banques qui décidaient ont laissé leur pouvoir aux marchés financiers. La faille ? Les banques qui étaient financées d'abord par des fonds propres et ensuite par des créances à peu près sûres, certaines et liquides ont vu le volume de ces créances augmenté de façon anormale et leur qualité diminuer

Les marchés financiers eux, se sont laissés noyer sous les produits titrisés qui ont la spécialité de faire avec un rien un néant.

Il reste les banques centrales, qui ne sont plus toutes nationales et qui décident de promouvoir l'argent Hélicoptère, qu'elles distribuent à tire de pales.

Elles achètent des masses des créances douteuses citées ci-dessus et fabriquent l'argent pour les payer. Mais qui va régler la casse ?

Le bilan de ces banques qui dans sa partie active additionne des milliers de milliards de dollars de créances, laisse croire que ces banques sont riches. En réalité elles ont entassé des dettes. Un chiffre : FED et BCE total de chacun des bilans 4 000 milliards, dont nul ne sait quel pourcentage de ce total sera un jour remboursé

Comment en sommes-nous arrivés là ? Simple, la recherche de clientèle pour les élections, une croyance ; penser que les marchés se régulent tout seul et que la concurrence libre et non faussée est possible.

Pour la recherche de clientèle, des opérations de séduction ont été menées : vous voulez moins d'impôts ? réduisons les impôts. Pour les entreprises : Vous voulez une main d’œuvre moins onéreuse ? laissons entrer les immigrés ; Vous voulez plus de libertés ? Alors, il est interdit d'interdire et c'est ainsi que les Etats sont devenus ingérables.

On laisse déboulonner les statues, mais on installe des radars le long des routes sans rien dire. Il faut bien trouver un peu d'argent. Certains ne veulent plus payer de cotisations sociales ou moins, aucun problème, on baisse les cotisations patronales et pour financer le manque : LA DETTE.

On ne peut plus investir par manque d'argent public : on brade alors notre patrimoine et on laisse nos entreprises nationales partir vers d'autres cieux.

Le résultat : La globalisation s'émiette ce qui ne nous empêche pas de continuer sur la même route. Difficile de changer les mauvaises habitudes.

Et cela malgré le fait que cette globalisation a creusé des inégalités que l'on ne sait combler. Elle a délocalisé ce qu'on ne sait pas relocaliser, comment et quoi faire ?

Il faudrait investir dans le long terme, Or, nous n'en avons ni le temps, ni les moyens et surtout il nous manque deux choses : le savoir-faire et la volonté politique tous deux disparus. Nous devrions être à nouveau les défenseurs du bien commun, pour remplacer l'individualisme et l'égoïsme qui dominent depuis quelques décennies. Oui mais nous ne savons plus faire.

Nos décideurs, politiques, économiques et du monde financier ont en réalité peur de l'avenir. Ils craignent de bouger une pièce sur l'échiquier. Ils n'ont pas été formé pour cela : Pas de vagues, des promesses, des sourires, des : je réponds à vos demandes, et pour amortir ce que l'on ne sait pas faire : LA DETTE et là ils savent faire les bougres

La dernière erreur en date : confondre capitalisme et néo libéralisme

Le capitalisme est mort disent certains, NON c'est le néo libéralisme qui est condamné aprés qu'il nous ait condamnés au naufrage

Alors ? Et bien nous devons émettre quelles propositions

et l'électeur doit obliger les candidats, représentants de la nation à les mettre en applications au lieu dimposer des programmes issus de partis qui datent d'un autre siècle et qui se résument souvent par : il faut tuer l'autre.

D'abord et avant tout : RETROUVER NOTRE SOUVERAINETE NATIONALE qui permet de décider de notre propre destin, selon les circonstances et en vertu de notre volonté et de nos besoins

Aussi grand soit le verre que l'on nous tend de l'extérieur, buvons dans le nôtre et trinquons aux alentours. Prudents et non naïfs, voilà la politique à mener : protection aux frontières lorsqu'il le faut – Impossible nous dit à la télévision un ténor en économie

Pourtant : la TVA sociale, cet autre financement de la protection sociale, qui passerait du monde du travail à celui de la consommation, elle devrait être appliquée à tout produit consommé chez nous

20% de plus à la frontière, finance une partie de la protection sociale, augmente le prix du produit importé, mettant fin à cet illogisme d'une concurrence libre et non faussée mais faussée par TOUS nos concurrents, parce que nous sommes champions dans le domaine de la naïveté

Et puis pour décider de tout cela, il faut une force politique adaptée

Entre le socialisme écrasant et le libéralisme inhumain, autre chose, de simple, de digne et de pratique : LA PARTICIPATION : un nouveau choix politique avec un Etat qui gouverne, un peuple rassemblé qui le soutient

En finir avec le mondialisme diligenté par des groupes financiers qui manoeuvrent dans l'ombre – la souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle pronée par Rockfeller, il faut l'abolir

En terminer avec le socialisme ou tout opposant termine sa vie au Goulag.

Eliminer ce mondialisme qui échappe à tout pouvoir politique et qui a mis en place l'internationalisation accélérée de l'économie

Réduire ce qui a supprimé LA DEMOCRATIE avec la liberté d'expression, avec cette prise de pouvoir sur la presse qui s'est rangée aux ordres de la finance. Sans cela tout ce que je viens de dénoncer n'aurait jamais été possible

France, grande puissance et qui le restera grâce à cette participation de tous à un grand projet commun- France libérée, libérée par son peuple, France qui n'a pas à se commettre dans des repentances à la noix issues de cerveaux qui dirigent une seule manœuvre : recherche de clientèle pour que la finance, donc la dette reste au pouvoir

Voilà ce que doit être le résultat de nos combats

Vaste programme dirait le Général, oui mais parce que vous nous avez démontré que tout était possible, nous le mènerons à bien.

 

  Henri Fouquereau Secrétaire général du Forum Pour la France et du CNR présidé par Jacques MYARD

© 01.11.2020