1 gramme d'eau de 25o Celsius exige 4,18 Joule  pour le réchauffeur 1o.  1 gramme d'eau de 100o Celsius exige 2260 Joules  pour le changer en vapeur d'eau de 100o Celsius.   À côté de ces processus il y a également de la vaporisation de glace et de l'eau de n'importe quelle température.   Avant, on appelait l'énergie requise pour le changement d'une  phase à l'autre, la chaleur latente. En fait c'était une chimère qui impliquait que la vapeur d'eau aurait absorbé cette énergie, bien qu'elle ne puisse pas être mesurée. Cette chimère était nécessaire, parce qu'autrement, la loi de la conservation de l'énergie ne s'appliquerait plus. De l'énergie aurait disparu.   Selon les vues d'aujourd'hui l'énergie est dépensée pour rendre les liens entre les molécules plus lâches. La force d'attraction réciproque doit être surmontée. Les molécules se heurtent des milliards de fois par seconde et dans chaque volume il y a beaucoup de vitesses différentes en jeu. Seules les molécules avec la vitesse la plus élevée peuvent réussir à s'échapper de la surface de l'eau. En conséquence, la température moyenne des molécules qui restent derrière devient plus basse.   Dans le processus inverse, la condensation, ce sont les molécules les plus froides (avec le moins d'énergie) qui sont attrapées par la force d'attraction d'une particule ou gouttelette d'eau. Les molécules avec plus d'énergie restent dans l'air, et comme ce sont des molécules plus froides qui tombent à l'eau, la température moyenne de la vapeur d'eau restante s'élève.  Comme j'ai déjà mentionné, la vaporisation et la condensation sont les processus qui permettent la vie sur terre. Notre eau douce tombe du ciel. Selon quelques publications la quantité totale des gouttelettes d'eau, des cristaux de glace et de la vapeur d'eau égalerait une couche de 2,5 cm sur la surface. Nous avons, en moyenne, environ un mètre de précipitation. Cela voudrait dire qu'on a un facteur de recyclage de 40 fois par an. À chaque cycle l'eau vaporise de la surface, se lève comme vapeur, souvent jusque dans de hautes altitudes, qui est transportée par des courants jusqu'à ce qu'elle condense finalement à un endroit, où la température est beaucoup plus fraîche.C'est une pompe de chaleur permanente. Grossièrement ceci contribue dans le transport de chaleur pour environ 3 watts par mètre carré. 

D'après les mesures les précipitations ont augmenté de plus de 2 % entre 1900 et 1980; au-dessus de la terre un peu plus qu'au-dessus de la mer. Bien que ces mesures n'aient pas été suffisantes pour être sûres, que cela  était le cas partout sur terre, nous pouvons néanmoins l'interpréter comme une tendance. L'irrigation dans l'agriculture a énormément augmenté pendant ces deux derniers siècles, causant une augmentation de la vaporisation.  

L'augmentation de la vapeur d'eau dans l'atmosphère pourrait bien avoir un impact beaucoup plus grand sur le réchauffement global, que l'augmentation du CO2. Il y a plus de 25 fois plus de vapeur d'eau que du CO2! Nous y reviendrons dans l'article « CO2, panique, affirmations et fraude ». 

Courants de l'eau  Les courants dans les océans transportent la chaleur vers des latitudes plus élevées. Les courants chauds sont près de la surface, tandis que l'eau refroidie retourne vers l'équateur dans des courants plus profonds.  

Si vous recherchiez des images des « courants océaniques » ou « ocean currents » sur Google, vous remarqueriez bientôt, qu'il y a très peu de concordance parmi les cartes du monde qui montrent ces courants. Les courants chauds ne sont pas contenus comme des fleuves et ils changent leur cours régulièrement (et probablement de manière permanente.) Les courants inférieurs sont appelés parfois des fleuves sous-marins. Ils peuvent être contenus plus ou moins par le relief du fond. La recherche sur le comportement de ces courants n'a commencé que récemment avec des robots. 

Le Gulf Stream Un des courants les plus connus, et pour l'Europe le plus important, est le Gulf Stream. C'est un courant d'eau d'environ 90 kilomètres de large, avec une vitesse de 2 m/sec, qui apporte de la chaleur du Golfe du Mexique et de la côte de la Floride à travers l'Océan Atlantique vers l'Europe. L'air au-dessus est chauffé par cette eau et est transporté par le vent audessus de l'Europe de l'Ouest. 

C'est la glace de mer, à l'extrémité nordique de l'Océan Atlantique, qui est la pompe qui assure le fonctionnement de ce courant convoyeur de chaleur. Cette pompe est basée sur le principe, que l'eau est la plus lourde à 4o Celsius. C'est parce que l'eau se refroidit contre la glace dans la mer, qu'elle descend vers le fond, faisant de la place pour de l'eau venant du sud. Sans cet effet de refroidissement par la glace de mer, cela prendrait très longtemps avant que l'eau descende au fond marin. En effet, pour ce processus il est nécessaire que la température de l'eau descende en dessous de celle des couches inférieures plus froides. Le courant stagnerait et l'Europe occidentale refroidirait, tandis que l'eau plus chaude resterait autour de l'équateur.   Beaucoup de la glace dans l'Océan Arctique se développe dans la partie relativement peu profonde du Détroit de Behring, où l'eau coule en direction du pôle nord. C'est les vents froids qui soufflent pardessus l'Alaska qui font geler la surface et souffle ensuite la glace dans l'Océan Arctique.  Depuis 1953 la surface de cette glace de mer est surveillée. Depuis 1969 elle a une tendance décroissante de 11,2 % par décennie. Le réfrigérateur du Détroit de Behring fait moins de glace qu'il n'en fond. Ces tendances sur des périodes de 10 ans cachent des variations importantes. En septembre 2007, soudainement, il y avait 1,29 million de km2 (23 %) moins de glace que l'année précédente. Ensuite, en 2009 il y avait une augmentation de 1,08 million de km2.  Bien entendu, la surface ne dit pas tout, parce que la croissance de la glace dans 2009 était composée d'une mince couche d'une saison. Des mesures de tout le volume de glace seraient beaucoup plus significatives. Pour ceci, nous n'avons que des estimations grossières, qui indiquent que la glace sous l'eau a diminué de 1,30 m entre les années 50 et les années 90.

La fonte de glace a des conséquences dramatiques pour la pompe. En 2005 des scientifiques ont découvert que la vitesse du Gulf Stream, comparée à la dernière mesure 12 ans avant, avait diminué de 30 %.  Le ralentissement du Gulf Stream a non seulement des conséquences pour le climat, mais également pour la quantité de l'eau riche en oxygène, qui est transportée au fond de l'océan. Elle détermine en grande mesure l'équilibre biologique et le stock de poissons.   

Troisième partie : CO2, panique, affirmations et fraude... 

Réchauffement global Le climat change, sans aucun doute. Le climat change toujours, souvent presque imperceptiblement, quelque fois rapidement. En ce moment nous sommes confrontés à un changement rapide. On nous dit que c'est à cause de l'activité humaine. Depuis le début de la Révolution Industrielle nous avons brûlé toujours plus de charbon, de gaz et de pétrole du sous-sol, libérant leur CO2 (oxyde de carbone) dans l'atmosphère. Donc, à première vue ça sonne logique d'accuser les émissions de CO2 d'être la cause du réchauffement global.  Ces dernières années les Nations Unies ont beaucoup fait pour créer une panique mondiale pour le CO2. Cependant, de plus en plus souvent on entend dire également que le CO2 ne peut pas être la cause. Qu'est-ce qui est juste et qu'est-ce qui est faux ? 

Étude préliminaire Comme montré dans la première partie de "Faits et mensonges sur le climat" l'horloge des orbites changeantes de la terre autour du soleil et de l'inclinaison changeante de l'axe de la terre explique une partie du réchauffement. Les variations dans l'activité solaire et leurs effets sur les processus dans notre atmosphère seraient responsables du reste. Parmi ces processus la vaporisation et la condensation de H2O, dans les formes de vapeur d'eau, gouttelettes liquides et cristaux de glace, jouent un rôle très important. Les changements dans les niveaux de vapeur d'eau ont 25 fois plus d'impact sur le réchauffement global que les changements dans les niveaux de CO2.

Étude de CO2 Cet article-ci se concentre sur les aspects du CO2. Ma conclusion est que nous avons été trompés délibérément par les Nations Unies et que très probablement, à l'avenir la crainte pour le changement du climat sera utilisée plus souvent à des fins politiques comme pour des profits industriels et commerciaux. 

Au secours! La mer monte! Que c'est sérieux avec le climat, cela devient clair de la crainte qu'on nous impose de la montée du niveau de la mer. La glace fondrait. Ces dernières décennies beaucoup de glace a fondu près du pôle nord. Cependant, ceci est de la glace de mer flottante. Elle flotte, parce que l'eau en gelant prend du volume. Et lorsqu'elle dégèle, elle ne prend pas plus de volume que la glace qui se trouve sous l'eau. Le dégel de cette glace ne fait pas monter le niveau de la mer, même pas d'un seul millimètre.   Il en serait tout autrement, si des couches de glace sur terre, comme sur le Groenland ou l'Antarctique, se mettent à fondre. Le Groenland est couvert à 81 % d'un cap de glace (1.755.637 km2) avec un volume estimé à 2.620.000 km3. Si ça fond, le niveau de la mer monterait de 6,5 mètres. Cependant, par endroits cette couche est épaisse de 3.000 mètres. Si vous savez que cela a pris 18.000 ans pour faire fondre les glaces de la dernière ère glaciale, vous comprendrez probablement qu'une couche si épaisse ne fond pas en quelques années. Nous n'avons vraiment pas besoin de commencer à rehausser nos digues tout de suite. Si cette glace commence à fondre nous aurons encore des générations pour les rehausser. Et si la glace sur l'Antarctique se met à fondre aussi, nous n'avons même pas besoin de rehausser nos digues et nous ferions mieux de déménager, car au pôle sud il y a assez de glace pour faire monter le niveau de mer de 65 mètres.

CO2, ce qu'on affirme Le climat change. Au moins nous voyons une claire tendance montante des températures près de la surface, qui commençait autour de 1885 et qui, après quelque hauts et bas étaient montées d'environ 1 degré Celsius en l'an 2000. D'autre part nous savons que les concentrations de carbone dioxyde (CO2) se sont accrues depuis la Révolution Industrielle de 0,027 % à 0,036 %. Vous lisez bien. Nous parlons de millièmes de pourcents. L'augmentation, néanmoins est de 40 %.

CO2 se libère lors de la combustion de matières organiques, en particulier des carburants fossiles. C'est cela qu'on a beaucoup consommé pendant le siècle dernier. Donc, lorsqu'on accuse le CO2 d'être à blâmer pour le réchauffement global, cela semblera acceptable pour un outsider, d'autant plus lorsque c'est affirmé par un politicien important et qu'apparemment des hordes de scientifique disent tout fort la même chose. 

Leur argument est, que par l'accroissement du CO2, la couverture des gaz à effet de serre devient plus épaisse, ce qui fait que le transfert de chaleur vers l'espace a lieu à une altitude plus élevée, où il fait plus froid et où, par conséquence, l'émission de chaleur est moins effective. Ouf !   

Le budget de chaleur et les hypothèses 

Donc, ce serait à propos d'une différence entre radiation entrante et sortante. Cela nous mène directement au sujet de prédilection de beaucoup de climatologues contemporains: la balance de chaleur, appelée également le budget de chaleur. C'est un genre de comptabilité des moyennes de chaleur qui entrent et sortent de l'atmosphère. Le premier a été établi par Dines en 1917. Jusqu'aux mesures par satellites en 1977 il était inconnu combien d'énergie solaire arrivait sur le haut de l'atmosphère. Cela n'empêchait pas à des générations de climatologues de produire des rapports scientifiques avec des chiffres détaillés sur les différentes catégories de radiation entrante et sortante. D'un scientifique à l'autre ces chiffres pouvaient varier jusqu'à 80 %! Depuis 1977 la plupart des climatologues travaillent avec approximativement les mêmes totaux, ce qui rend leurs chiffres un peu plus en accord les uns avec les autres. Cependant, il est important de rester conscient, que tous ces chiffres détaillés ne sont rien de plus que des estimations, basées sur des suppositions, des extrapolations et des hypothèses à un moment particulier. Cela ne veut pas dire qu'ils sont sans valeur. Cela veut dire que c'est le mieux dont nous disposons pour l'instant. Nous pouvons être certains à 99,9 % que par des développements dans la science, ces comptabilités seront différentes d'ici dix ou vingt ans. Ci- dessous il y a un budget de chaleur de Professeur Patrick Tyson.

Entrée de chaleur:  

Sortie de chaleur: 

Il y a des climatologues qui trouvent ces bilans si attractifs, qu'en même temps ils proclament le théorème, que la radiation entrante est égale à la radiation sortante. Eh bien, si cela était vrai ne seraitce qu'une fraction de seconde, ce serait pure coïncidence. Les processus qui sont responsables pour le réchauffement ne sont pas les mêmes que ceux pour le refroidissement. Il faut être un climatologue très croyant pour supposer que ces processus forment un équilibre ou aient une tendance naturelle de concourir vers un équilibre.

Pour rendre les accusations contre le CO2 plus plausibles, de jolis graphiques sont montrés. Le suivant vient du Bureau pour Météorologie Australien. Il peut également être trouvé dans d'autres publications.  Absorption de radiation: 

Traduction : Graphique 4. Les caractéristiques d'absorption de radiation de vapeur d'eau et de dioxyde de carbone comme une fonction de longueurs d'onde. La partie supérieure du graphique montre la distribution des longueurs d'onde émis par des Corps Noirs (Blackbodies) radiant à 6000 K (approximativement la photosphère du soleil) et 255K (approximativement la température planétaire de la terre), avec l'irradiation solaire mesurée à la distance moyenne de la terre au soleil. Les graphiques inférieurs montrent les pourcentages d'absorption d'un rayon vertical par des concentrations atmosphériques représentatives de vapeur d'eau (H2O) et d'oxyde carbonique (CO2). 

Corps Noir Dans la partie supérieure nous voyons un graphique de ce qu'on appelle la radiation de Corps Noir. Imagine que vous avez un objet noir qui absorbe toute la radiation. Vous le mettez dans une boîte noire, où aucune radiation ne peut entrer ou sortir. Maintenant vous avez dans cette boîte un Corps Noir qui s'avère émettre un spectre de radiation dépendant de la température, ce qu'on appelle la radiation de Corps Noir. Naturellement vous ne pouvez pas construire une telle boîte dans la réalité, par ce que dans cette boîte vous devriez au moins faire un trou pour mesurer cette radiation. C'est un concept théorique. À la température ambiante il émet des ondes infrarouges. A 700o Celsius il émet de la lumière rouge et à 5727o C. (6000o Kelvin) il émet des ondes dans la lumière visible. Ensuite, si l'on applique la loi de Max Planck (le fondateur de la Théorie des Quanta) sur cette température, on obtient un joli graphique de la radiation de Corps Noir du soleil, une courbe symétrique, avec un pic dans les longueurs d'onde de la lumière visible.  Ensuite, l'idée est, que si l'on considère la terre également comme un Corps Noir, et que l'on adapte la formule un peu pour tenir compte de l'albédo (la radiation réfléchie), on peut, avec les maigres mesures dont on dispose jusqu'ici, faire un graphique similaire.  De mesurages il a été établi, que la radiation de grandes ondes, qui quitte le haut de l'atmosphère, totalise 235 Watt par mètre carré. Avec une formule de Stéphan Bolzmann on peut alors calculer, que cette radiation appartient à un Corps Noir de 251o Kelvin (-22o Celsius). D'une autre mesure il apparaît que le pic de la radiation de la terre est très près du 10 micromètres de longueur d'onde. Suivant la formule de déplacement de Wien, cela appartient à un Corps Noir de 290o Kelvin (17o Celsius.)  Ces deux résultats sont en conflit. Si nous en faisons un graphique, nous obtenons une courbe asymétrique, avec à gauche un côté raide et à droite un côté moins raide. Ensuite la supposition est, que la différence entre ces deux résultats doive être imputée aux effets des gaz à effets de serre.  Le problème avec cette application intéressante est qu'en premier lieu il faut admettre que la terre fonctionne comme un Corps Noir et que la radiation entrante égale la radiation sortante. Bien sûr, on pourrait adapter les formules aux différences, mais comme nous n'avons pas la moindre idée combien ces différences seraient, et par ce que cette incertitude ferait un foutoir de tous les calculs, il est plus facile de prétendre que radiation entrante égale radiation sortante. Cependant, cela reste une supposition et ne peut pas encore être prouvé. (Personnellement je n'y crois pas, déjà rien qu'à partir de la constatation que la terre absorbe plus de radiation lors qu'elle s'approche du soleil. Les océans forment des vastes accumulateurs de chaleur.)  Par ailleurs, l'albédo, le pourcentage de radiation entrante qui est réfléchie, joue un très grand rôle dans ces calculs. Ce pourcentage est basé sur des suppositions et des extrapolations. La plupart des scientifiques semblent considérer que des pourcentages d'albédos proches de 30 % sont acceptables.

 

Finalement il faut admettre le théorème, que la différence entre 251o et 290o Kelvin doit être imputée entièrement aux gaz à effets de serre et que, par exemple, la radiation cosmique et le noyau chaud de la terre elle-même jouent un rôle négligeable. 

Retournons au graphique du Bureau de Météorologie Australien. Le pic de la radiation de la terre a été déplacé vers 255o Kelvin, où la plupart des publications que j'ai pu trouver placent ce pic à 251o. Le pic est droit au-dessus du pic de l'absorption de CO2 dans la partie inférieure de l'image, ce qui, sans aucun doute doit suggérer une relation. 

Les deux graphiques inférieurs montrent quelles longueurs d'onde sont absorbées par la vapeur d'eau et le CO2. Ce qui n'est pas mentionné, c'est que de tous les deux seul l'isotope le plus commun est montré. Le spectre d'absorption de gouttes d'eau et de cristaux de glace ne sont pas montrés. Ils ont un spectre d'absorption qui est beaucoup de fois plus large que celui de vapeur d'eau. Nous pouvons voir néanmoins, que la vapeur d'eau absorbe beaucoup plus de longueurs d'onde que ne fait le CO2 et qu'elle le couvre pour la plus grande partie. Ce qui n'est pas mentionné non plus, c'est qu'il y a 25 fois plus de vapeur d'eau dans l'atmosphère. Une légère augmentation de 4% dans la quantité de vapeur d'eau a plus d'effet que 100% d'augmentation de CO2!  

Les scientifiques ne sont pas d'accord sur le rôle du CO2. Ce qui est généralement admis c'est que la forme de la molécule CO2 n'est pas très adaptée à l'absorption de rayons solaires. Dans les longueurs d'onde jusqu'à 3 microns le CO2 n'a qu'une mince absorption autour de 1,9 micron et 2,7 micron. Les lignes d'absorption les plus importantes sont autour de 15 microns, donc dans l'infrarouge. Aujourd'hui quelques scientifiques argumentent que le CO2 a atteint son niveau de saturation de loin. Des expériences en laboratoire prouveraient que le CO2 atteint son absorption maximale en moins de 10 mètres. Doubler le pourcentage de CO2 voudrait simplement dire que le CO2 est saturé en moins de 5 mètres. D'autres disent que le CO2 dans l'atmosphère ne peut pas y être comparé, et qu'il n'a pas encore atteint sa saturation. Selon eux, une augmentation de CO2 contribuerait encore au réchauffement global,

bien que cela soit minimal et certainement pas proportionnel au pourcentage d'augmentation de CO2. L'affirmation, que davantage de CO2 rendrait la couverture des gaz à effet de serre tellement plus épaisse, qu'en raison de l'altitude plus élevée les températures plus froides gêneraient le transfert de chaleur vers l'espace, est à mon avis du non-sens pur. CO2 ne représente que 0,038% de l'atmosphère. Cela veut dire qu'une augmentation de 40% rendrait la couverture 3,30 m plus épaisse. Comparez cela à H2O, qui, avec ses changements de phases entre gouttelettes d'eau et vapeur, peut rendre la couverture 400 m plus épaisse lorsque l'eau vaporise et le réduit de nouveau quand la vapeur condense. Lors qu'\il y a des nuages cumulo-nimbus, la vapeur d'eau peut même s'élever de plusieurs kilomètres. S'il existe quelque chose comme une couverture de gaz de serre, alors c'est une couverture avec un dessus turbulent, où H2O avec ses expansions par vaporisations et ses contractions par condensation crée des pics et des puits avec des possibilités étendues pour l'émission de chaleur vers l'espace à beaucoup d'altitudes différentes et à beaucoup de températures différentes. Je pense qu'il est douteux, que le CO2 soit un facteur signifiant dans le réchauffement global. Durant les derniers millions d'années le niveau de CO2 était généralement beaucoup plus élevé. Pour les dernières 420.000 années nous disposons d'un noyau de glace d'un forage super profond à Vostok, en Antarctique, complété en 1996. Avec des modèles théoriques qui sont toujours sous discussion, des graphiques ont été établis qui montreraient une corrélation entre température et CO2. C'est un peu difficile d'extraire des détails de ces graphiques, car l'épaisseur d'une ligne représente déjà 1.000 ans. De ces graphiques on ne peut pas déduire, qu'une augmentation de CO2 cause une augmentation de température, comme le prétend Al Gore. (Je n'ai pas réussi à trouver un seul rapport des collaborateurs du projet Vostok qui mentionnerait cette relation causale.)  Par contre, les études par Veizer (Université d'Ottawa) et autres montrent, qu'il n'y a pas de corrélation entre des températures globales et les concentrations de dioxyde de carbone atmosphérique sur l'entière période géologique (à long terme). Les résultats intermédiaires des noyaux de glace montrent que dans chaque cas les concentrations de dioxyde de carbone suivaient les changements de température et donc ne pouvaient les avoir causés 

Finalement on peut se demander jusqu'où ces noyaux de glace d'Antarctique sont représentatifs pour le monde entier. Sur l'Antarctique il n'y a pas d'arbres et c'est justement les arbres qui absorbent le CO2. Davantage de CO2 pourrait aussi mener tout simplement à une croissance plus rapide d'arbres et de plantes, si tout au moins nous leur laissons assez de place. Aujourd'hui nous nous occupons toujours à couper les forêts restantes à la vitesse d'un train express et à peu près partout dans le monde nous coupons des forêts pour faire place à des villes et des terres agricoles. 

La fraude du bâton d'hockey Selon un graphique dans le rapport de 2001 du Panel Intergouvernemental sur le Changement Climatique (PICC) des Nations Unies, les températures aujourd'hui seraient les plus élevées de ces dernières 1.000 années, causé par une augmentation aigue avec 1degré dans ces dernières 150 années. Le graphique paraissait six fois dans le rapport et était republié dans le rapport de 2007. C'est une illustration dramatique du réchauffement global d'aujourd'hui. 

Fraude du bâton de hockey:  

Ce graphique est devenu connu comme le bâton d'hockey. Il est frauduleux pour deux raisons. D'abord, parce que des anneaux d'arbres ont été utilisés comme une indication des températures. A cette époque il était déjà bien connu que les anneaux d'arbres ne varient pas seulement avec la température, mais également avec du CO2 et ne peuvent donc pas servir comme indication de température. Le PICC savait cela très bien aussi. Ils avaient publié un avertissement contre l'usage des anneaux d'arbres dans leur rapport de 1990. Les fabricants du bâton d'hockey attribuaient 400 fois plus de valeur aux anneaux d'arbres que les autres indicateurs qu'ils utilisaient.

La période chaude midiévale:  

Mais pour obtenir leur effet dramatique des températures les plus élevées en 1.000 ans, ils devaient se débarrasser de la période chaude médiévale, qui était beaucoup plus chaude qu'aujourd'hui, comme montré dans le rapport du PICC de 1990.  La deuxième fraude consistait à remplacer les vraies données de la période chaude par des estimations plus froides. C'est grâce à la ténacité du statisticien Canadien Steve McIntyre et son collègue, le professeur Ross McKitrick, que la corruption fût finalement exposée au grand jour. Sur l'ordinateur des fabricants du bâton d'hockey ils ont trouvé les températures réelles dans un fichier « données censurées ».  Al Gore aussi, utilisait les graphiques du bâton d'hockey dans les représentations vidéo qu'il tenait partout dans le monde pour promouvoir la panique du CO2. Dans sa « Vérité qui dérange » il présente toujours le réchauffement d'aujourd'hui comme exceptionnelle.  En 2007, il a reçu le Prix Nobel pour sa campagne de CO2, ensemble avec le PICC des Nations Unies.  En fait, des périodes chaudes, comme celle d'aujourd'hui et celles du Moyen Age, n'ont rien d'exceptionnel. Même si vous aimeriez bien croire Al Gore, il suffit de jeter un coup d'œil sur les derniers 5.000 ans pour trouver plusieurs de telles périodes chaudes.  Ce qui est peut-être l'aspect le plus remarquable, c'est la montée d'un degré en 150 ans. L'étude des orbites de la terre n'offre pas d'élément pour expliquer cette montée rapide (Voyez la première partie.) Cette montée rapide n'était même pas continuelle. D'après les études de noyaux de glace de Veizer (Université d'Ottawa) et autres, la température globale descendait entre 1940 et 1980. A propos, c'était la période de l'accroissement le plus intense dans les concentrations globales de CO2.

Est-ce qu'un accroissement de l'activité solaire pourrait alors en être l'explication? Scaffeta et West (Duke University) le pensent et ils estiment que jusqu'à 35 % du réchauffement récent (depuis 1980) et jusqu'à 50 % du réchauffement antérieur (1900 à 1980) peut y être attribué. Selon Solanki, et al (dans l'édition de Nature d'octobre 2004), depuis 1930 l'émissivité solaire a été aux niveaux les plus élevés depuis 8.000 ans. Cependant, s'il y avait une corrélation directe entre activité solaire et température, cette dernière ne serait pas descendue entre 1940 et 1980, n'est-ce pas ?  Je pense qu'il est sans danger de conclure que la montée dans les températures globales de ces dernières 150 années ne peut pas être attribuée au CO2, ni seulement à un accroissement de l'activité solaire. D'un autre côté, un accroissement de H2O dans l'atmosphère aurait 25 fois plus d'effet que le CO2, mais il semble qu'il n'y a pas eu d'investigation globale sur ce point. D'autres facteurs, non encore recherchés, pourraient bien y jeter plus de lumière dans l'avenir.  Ce qui m'étonne, c'est que des études que j'ai lues, il n'y en a que très peu qui fassent attention aux changements dans l'utilisation de la surface terrestre. Des forets ont fait place à des champs et prés, souvent excessivement drainés, irrigués et arrosés. L'homme ne fait pas toujours cela avec suffisamment de connaissance et de compréhension, comme en témoigne la disparition de la Mer Aral (il n'y a pas si longtemps une mer entourée de terre), et le dessèchement de douzaines de rivières, dont le Murray river en Australie.  De grandes surfaces de terres agricoles laissent souvent le vent dessécher la surface et absorber de la poussière. Les extractions d'eau excessives pour la consommation, l'agriculture, l'industrie et autour de sites de mines dessèchent la surface également. De telles régions arides deviennent beaucoup plus chaudes l'été. Les endroits chauds tendent à créer leur propre climat local, avec des thermiques et des turbulences dans l'air audessus. Les villes et leurs industries ne créent pas seulement de la chaleur, mais également des émissions de vapeur d'eau, vapeur et particules, qui ajoutent aux effets de serre. Comparez cela avec ce qui a disparu le plus: les forêts. Les forêts sont importantes pour retenir l'eau, pour tenir les vents secs éloignés de la surface, pour prévenir l'érosion et la formation de déserts, pour réduire

les différences de températures journalières, pour absorber de l'énergie dans la photosynthèse en produisant de l'oxygène, qui, soit dit en passant, n'est pas un gaz à effet de serre.  Avec cette conclusion j'aurais pu terminer mon étude sur le climat. Mais alors, probablement, je laisserais la question la plus importante sans réponse: pourquoi diffuse-t-on de l'information sur la terre entière, qui doit nous faire croire que tout est causé par le CO2?  

Qu'est-ce qu'il y a derrière  le scandale du CO2?  Cette question ne faisait pas partie de mon étude sur le climat. Mais peut-être nous trouvons la réponse, si l'on se pose la question, pourquoi, parmi toutes les causes et tous les gaz à effet de serre possibles, le CO2 a été choisi. Pourquoi il n'y a pas une propagande mondiale contre la poussière et les fines particules qui contribuent au réchauffement global? Pourquoi ce ne sont pas les gaz à effet de serre qui sont expulsés par les industries, comme le carbone d'hydrofluoride, le carbone de perfluoride et le sulfur-hexafluoride  qui sont accusés? C'est en effet les gaz à effet de serre qui n'existaient pas avant l'Ère Industrielle.  

Qui profite?  Le scandale a été organisé au niveau mondial, avec les Nations Unies comme instigateur et Al Gore comme messager. La claire intention était de tromper des gouvernements, des développeurs de politique, des industriels, comme les éco activistes. Ce qui laisse supposer qu'il y a de très gros intérêts en jeu. Pour toutes les escroqueries il va qu'il doit y avoir un motif. Le plus souvent c'est le profit. Donc, une question logique serait: « Qui profite de la panique du CO2? » 

Les industries automobiles? Bien qu'il me semble douteux que les industries automobiles aient suffisamment d'influence aux Nations Unies pour leur faire monter une escroquerie pareille, elles profitent clairement de la panique du CO2.  Elles  ont  développé des voitures, qui sont plus efficaces, consomment moins de pétrole et éjectent moins  de  CO2.  Ils  ont  organisé  une  campagne  de marketing  réussie pour présenter ces voitures comme « voitures écologiques », « voitures vertes » et

« voitures respectant l'environnement ». Des gouvernements subventionnent (ou ont subventionné) l'achat de ces voitures avec des réductions fiscales. Il y a des centres-villes en Allemagne où vous n'avez pas le droit de circuler si votre voiture n'a pas un collant officiel qui indique que votre voiture rejette peu de CO2. L'Allemagne est le pays des grandes Mercedes et Audi, donc, bien entendu, ils ont pris soin de choisir leur méthode de calcul de telle sorte que ces grosses voitures peuvent toujours circuler dans ces centres-villes, tandis que certaines voitures plus anciennes ne peuvent pas obtenir ce collant, même si elles rejettent moins de CO2.  Le scandale n'est pas tant dans la méthode injuste des calculs, que dans le fait que ces voitures modernes ne sont pas du tout respectueuses de l'environnement. Elles polluent énormément! En Europe nous avons des seuils d'émission de particules que des engins diesel ne doivent excéder. Cependant, ces seuils ne s'appliquent qu'aux moteurs diesel. Dans le passé c'était eux qui étaient considérés de sales pollueurs. Si nous comparons l'émission de particules des voitures vertes d'aujourd'hui avec les limites qui s'appliquent aux engins diesels, nos voitures vertes et subventionnées excèdent ces limitent de beaucoup de fois! [81]  Pollution par l'essence comparée au diesel : (C'est le contraire de ce que vous pensez...) 

En dehors de ces soi-disant « voitures écologiques », les industries automobiles ont développé des voitures hybrides (essence/électricité) et elles développent également la « toute électrique » avec émission CO2 zéro. Bien sûr, la crainte de réchauffement global a rendu ces voitures hautement populaires, au moins dans la presse, car en ce moment il n'y a encore pratiquement pas de voiture « tout électrique » sur les routes. La production de masse est prête à commencer, mais des tests sont encore en cours pour définir la manière la plus pratique pour remplir les batteries ou pour les changer en route.  Eh bien, ici aussi se joue de grands scandales. En premier lieu, lorsqu'ils disent que les émissions de

CO2 sont zéro, ils ne comptent pas les émissions lors de la production de l'électricité. Ils ne comptent pas non plus les émissions pour la construction et la maintenance d'un réseau de distribution. Vous pourriez brancher quelques voitures sur le réseau existant, mais si une majorité de voitures devient électrique, nous aurons besoin de beaucoup plus de centrales et une extension énorme de la capacité du réseau de distribution. Et dans quelle mesure la fabrication et le recyclage de batteries et de panneaux solaires sont respectueux de l'environnement aujourd'hui ?  L'autre scandale, bien plus grand, c'est de faire croire aux gens qu'il y a assez de sources d'énergie durable pour produire toute l'électricité pour nos voitures. En ce moment, de toute l'énergie que nous consommons au monde, environ 1 % vient de sources durables, somme soleil, vent ou énergie hydraulique. Cette dernière ne peut guère augmenter comme la plupart des endroits intéressants pour construire des barrages sont déjà utilisés. Le vent et le soleil fluctuent beaucoup trop pour garantir un approvisionnement contant. Si nous voulons les utiliser quand même, nous aurons besoin de réserves énormes de batteries d'échange pour nous permettre de rouler durant les jours sombres de l'hiver. Je n'ai pas calculé de combien de panneaux solaire nous aurions besoin pour charger nos batteries tout au long de l'année, mais je crains que ces espaces gigantesques ne pourront pas être trouvés. Il y a des gens qui suggèrent dans le désert, mais pour l'Europe le désert le plus proche est le Sahara et nous n'avons pas encore trouvé la façon de transporter l'électricité sans trop de pertes sur des distances pareilles. Des lignes de tension classiques ont beaucoup trop de résistance. En plus, si l'on crée une région avec de super grands parcs de panneaux solaires et que l'on en soustrait l'énergie sous forme d'électricité, on crée un changement de climat local. D'énormes tempêtes de sables sont alors prévisibles.   La conclusion évidente sera, que dès que nous serons adonnés à l'électricité pour une partie de notre mobilité, nos politiciens et nos producteurs d'énergie diront simplement que nous devrons accepter l'énergie nucléaire. Bien entendu, ils nous diront que c'est sans danger, comme ils l'ont toujours dit. 

Un lobby de l'énergie nucléaire?  Le lobby de l'énergie nucléaire nous mène, en effet, à la United Nations Plaza à New York. Ici on trouve : - le PICC (Panel Intergouvernementale du

Changement Climatique), source des rapports falsifiés sur le climat, avec siège social à Genève, la ville de la recherche nucléaire (CERN) et un bureau à la United Nations Plaza à New York; - l'AIEA (Agence Internationale pour l'Énergie Atomique), l'instance de régulation de l'énergie nucléaire, avec siège social à Vienne et des bureaux, parmi d'autres, à Genève et à la United Nations Plaza à New York. Ils sont également très intéressés par l'environnement et fréquentent les mêmes réunions que le chef du PICC ; - les membres permanents du Conseil de Sécurité: États-Unis, Royaume Uni, France, Russie et Chine. Ce sont également les états à armes nucléaires du Traité de Non-Prolifération (TNP). Tous ont des bureaux à la United Nations Plaza à New York. Rappelons-nous que le droit de veto des membres permanents est basé sur le fait qu'ils étaient vainqueurs de la Deuxième Guerre Mondiale (excepté la Chine) et que leur suprématie dans les Nations Unies est basée sur la possession d'armes nucléaires. Depuis la fin de la Guerre Froide les armes nucléaires ont perdu leur influence, ce qui signifie que la base de leur suprématie est en train de ternir. Pourquoi je pense que l'AIEA et des membres permanents du Conseil de Sécurité ont quelque chose à faire avec cette campagne mondiale pour créer une panique sur le Réchauffement Global? La raison est simple. S'ils peuvent faire croire au monde que le problème est le CO2, ils ont la solution. (Enfin, c'est ce qu'ils prétendent.) Ils ont, ce qu'ils appellent « de l'énergie nucléaire propre, garantie sans émission de CO2 ». Les pays à armes nucléaires ont concocté un projet intelligent et ils sont en train de l'exécuter pas à pas. Peut-être vous n'en avez jamais encore entendu parler, car il n'y a pas beaucoup de journalistes qui y prêtent attention. Leur plan s'appelle le Multilateral Nuclear Approach (MNA). Dans ce plan les pays à armes nucléaires deviennent les fournisseurs exclusifs d'uranium enrichi pour toutes les centrales nucléaires dans les autres 183 pays du Traité de NonProlifération. Ces autres pays n'auraient plus le droit d'enrichir l'uranium eux-mêmes. Ils viendraient à dépendre entièrement des livraisons par les pays à armes nucléaires à partir de stocks tenus `à l'extérieur des pays clients. Le premier de ces stocks est déjà réalisé en Russie. Les fournisseurs de combustible nucléaire agissent sous le parapluie de l'AIEA, qui a

développé le projet. Ce plan rendra tous les pays du TNP totalement dépendant des états à armes nucléaires, qui peuvent arrêter leurs livraisons de combustible nucléaire pour forcer ces pays dans une soumission immédiate. C'est un nouvel ordre mondial qui est en train de prendre forme. La seule chose qui manque encore pour le succès de ce projet est l'abolition de l'article 4 du Traité de Non-Prolifération, qui dit que chaque membre a le droit d'enrichir l'uranium pour ses besoins civiles. Ils ont essayé comme ils ont pu de prendre prétexte sur le programme d'énergie nucléaire de l'Iran pour montrer des prétendus dangers de l'enrichissement. Malgré des années de fausses accusations par les États-Unis, le Royaume Uni et le France, cette tentative a échoué. L'escroquerie sur le CO2 a été fabriquée à peu près dans la même période. Si elle avait pour but de promouvoir l'énergie nucléaire et de faire avancer le projet MNA, cela a également échoué. Trop de gens sont au courant de la fraude maintenant.  Néanmoins les participants ont été honorés. En 2005 le directeur de l'AIEA El Baradei a reçu le Prix Nobel pour sa contribution et, comme dit, en 2007 Al Gore, ensemble avec le PICC frauduleux en ont reçu un pour la leur. 

Mes conclusions sur le climat Nous sommes 20.000 années en route dans une période de réchauffement de 50.000 ans d'un cycle de  Milankovitch. A l'intérieur de ces cycles l'émissivité du soleil varie beaucoup, avec des ères d'activité élevées et basses. Beaucoup de ce qui circule aujourd'hui comme science climatologique est basé sur des hypothèses qui seront ou ne seront pas confirmées par des recherches dans l'avenir. L'histoire du CO2 est frauduleuse. Les différents isotopes de H2O ont un spectre d'absorption bien plus large et en outre il y en a 25 fois autant dans l'atmosphère.  Nous devons être conscients que les intérêts politiques et commerciaux gênent la science objective. Les scientifiques qui ne se conforment pas à la campagne corrompue des Nations Unies ne reçoivent pas l'attention qu'ils méritent, comme par exemple Henrik Svenmark, qui a découvert des corrélations entre le magnétisme du soleil et les températures.   Les intérêts politiques et commerciaux en jeu sont tellement élevés que nous pourrons nous attendre à d'autres mensonges sur le climat dans l'avenir.

HTML Web Counter