Un
propos du Général de Gaulle tenu en 1959 indiquait : «Nous sommes quand même
avant tout un peuple européen et de race blanche, de culture grecque et latine
et de religion chrétienne...». (Propos rapportés par Alain
Peyrefitte.
Depuis est
apparue une règle nouvelle, celle du politiquement correct. Les propos tenus par
le Général de Gaulle seraient aujourd’hui qualifiés de racistes, indécents et
politiquement très incorrects. Nous sommes devenus de parfaits castrats. Nos
voix sont-elles plus écoutées? La France émasculée, est-elle ressortie plus
défenderesse des Droits de l'Homme?
En ces temps
de disette,que penserait le
Général de Gaulle appelé lors de l’ordonnance du 3 juin 1958 par René Coty comme
: «Le plus illustres des Français à doter la France d'une consttution...» ? Lors de l’élaboration de notre
Constitution de la Ve République, Il y avait la question de l’Algérie. Une
culture et une génération sont nées de cette époque de la décolonisation. La
France était prospère. Pourtant, le Général de Gaulle qui détestait les partis
politiques, menait la Maison de l’Élysée avec la plus stricte économie, payant
sa note d’électricité et ses besoins personnels sur ses deniers. Mme Yvonne de
Gaulle avait même entrepris d’enseigner aux cuisiniers de la Maison comment
accomoder les restes pour mener rigueur et économie
«pour l’exemple ». Aujourd’huiqu’enest-il
?
On clame haut
et fort qu’il convient de faire des économies sur le train de vie de l’État.
Mais on ne le fait pas. Le Conseil constitutionnel a déclaré cette mesure
inconstitutionnelle. Une telle mesure aurait été très politiquement correcte, si
elle avait été adoptée. Elle ne l’a pas été, c’est politiquement correct à ce
qu’il paraît.
Une
mobilisation des médias sur le sort des «rom» qui résident parqués en
Seine-Saint-Denis et autres banlieues défavorisées évite de dévoiler ce qui
n’est pas politiquement correct. C’est-à-dire : nous accueillons, nous militons
pour les sans-papiers, mais nous résidons là où l’on en voit pas ! Est-ce
politiquement correct de dévaloriser des cités qui sont nées de nos
constructeurs ? Ces banlieues aujourd’huiqualifiées de
« quartiers difficiles » étaient destinées à héberger des travailleurs. Elles
sont aujourd’hui des cités de «non droit » où la police n’intervient même plus.
Car ce n’est pas politiquement correct. Où est la culture française dans ces
cités ? Oui, pour les quartiers difficiles, il y a des crédits de la culture. On
récompense la culture de rue et l’on restreint les budgets des communes. Mais
c’est politiquement correct !
Une
mobilisation des médias sur le sort des «rom» qui résident parqués en
Seine-Saint-Denis et autres banlieues défavorisées évite de dévoiler ce qui
n’est pas politiquement correct. C’est-à-dire : nous accueillons, nous militons
pour les sans-papiers, mais nous résidons là où l’on en voit pas ! Est-ce
politiquement correct de dévaloriser des cités qui sont nées de nos
constructeurs ? Ces banlieues aujourd’huiqualifiées de
« quartiers difficiles » étaient destinées à héberger des travailleurs. Elles
sont aujourd’hui des cités de «non droit » où la police n’intervient même plus.
Car ce n’est pas politiquement correct. Où est la culture française dans ces
cités ? Oui, pour les quartiers difficiles, il y a des crédits de la culture. On
récompense la culture de rue et l’on restreint les budgets des communes. Mais
c’est politiquement correct !
Faire face à
l’immigration, oui, c’est une belle entreprise. Le Général l’avait bien dit, dès
1959. Il faut savoir raison garder. Notre pays est celui des droits de l’homme.
Notre démocratie a aboli la royauté mais remplace le roi par des roitelets et
Versailles par l’Élysée. Nous sommes les héritiers directs de la valeur de
démocratie aujourd’hui dévoyée. Notre régime tourne à une sorte d’hyper
présidentialisme « à l’américaine » voire à une monarchie
déguisée.
Nous sommes
politiquement corrects ! En ces temps où nos urnes sont désertées par les
nationaux nous parlons de donner le droit de vote aux « immigrés ». Les
nationaux boudent les urnes au mépris de ce que leurs ancêtres ont sacrifié pour
ce droit.
Outre les
distractions que nous offrent les médias pour masquer les réalités : soyons
autres que des moutons de l’ENA. Notre France a besoin de créer, innover. Cette
France là, ce sera celle qui demeurera une force dans le monde. Demain, il faut
que 80 % des électeurs français aillent faire leur DEVOIR de citoyens. C’est la
règle. Nos démocraties sont malades et nos électeurs fous. Le système ne
reconnaît que SA loi. Demain des forces seront nécessaires pour domestiquer ces
ectoplasmes. Il faut un vrai centre. Des Français fiers de leur France et non
des séides d’une droite populiste qui ne fait que
promettre sur des réalitésfantaisistes.Demain serait
un beau jour si nous pouvions souscrire pour une France novatrice à l’heure du
progrès des idées. Celan’est pas politiquement correct,
hélas.
Le mariage
pour tous est uneutopietrès onéreuseettrès singulièrement défendue par un allergique au mariage. Nous prendrions
modèle sur d’autres nations. N’avons-nous pas à soigner des plaies beaucoup plus
graves que de gommer les genres sous prétexte d’égalité ? Il est urgent
d’exister et innover -pour nous peuple français. Il faut aimer la France. Il
faut l’honorer. La France est notre patrie. Oui, elle est devenue multiple.
Faisons des vrais Français de nos jeunes de toutes origines. Fiers de l’être et
non pas des assistés titulaires d’un droit de vote au rabais. Protégeons nos
savoirs. Motivons nos jeunes pour rester parmi nous. Que dire des entreprises
qui se sont précipitées dans l’aventure asiatique en laissant les travailleurs
français présenter désespérément leurs sébiles à la collectivité ? Nous méritons
autre chose. Nos formations sont de qualité et coûtent très cher. Il est navrant
de constater qu’un jeune sur trois qui a été formé en France rêve de
s’expatrier. Cessons de copier un jour les Espagnols qui ont résisté un temps à
la crise par l’immobilier, un jour les Irlandais qui ont redressé leur économie
pour un temps par la finance, un jour les Allemands qui ont conservé leur
industrie. Nous avons été tour à tour des investisseurs en immobilier, des
financiers et les efforts de ré-industrialisation sont aujourd’hui fortement
aidés par l’État. Alors, oui, « les Français sont des veaux » ! Ce propos serait
aujourd’hui qualifié de politiquement incorrect.
Cessons de
masquer les réalités par un savoir vivre et une politesse réglés sur lepolitiquement correct. Ces ambiances ouatées en apparence
dissimulent sauvagerie et férocité qui mènent inévitablement le plus fort à
exécuter le plus faible, avec le sourire du politiquement correct.¾