Libres-proposd’un
souschienbrennois – libres
jusqu’à quand ? – d’un sous-chien, ainsi que Mme HouriaBouteldja, porte-parole du
groupe Indigènes
de la République (de
laquelle ?) nomme, un tantinet raciste, nous autres, Français « blancs », par
opposition aux « indigènes » (sic)
que
sont donc devenus les immigrés maghrébins, désormais seuls habitants jugés «
légitimes » du territoire exnational… C’est ce
qu’exprime à sa façon le rappeur Hamé du
groupe
La Rumeur, s’emportant
contre l’initiative gouvernementale sur l’identité nationale où il ne veut voir
que la recherche d’«
un blancseing collectif à l’apartheid » : « Être
français, c’est avoir sa vie en France, rien de plus » ! Singulière
approche d’une solidarité de destin de fait qui s’inscrit dans un commun vécu
sur le même territoire !
Nous
sommes prévenus : il n’y aura pas de « compromis historique » comme le
proposaient les communistes en leur temps, et on ne voit que trop bien à quoi
conduira une telle haine, d’autant plus dangereuse qu’elle tourne sur elle-même
et trouve prétexte à se développer sur un fond de radicalisme religieux. Elle
n’en est déjà plus à s’exprimer par le dit (entre autres, les rappeurs) ou
l’écrit. Exploitant le moindre fait que ses « prédicateurs » savent
instrumentaliser comme une provocation, elle éclate dans les quartiers, dans la
rue, en émeutes pré-insurrectionnelles, comme on vient
encore de le voir à Paris, au Champ-de-Mars, ou encore
à Lyon et Marseille à propos d’un match de football…
qui ne concernait en rien l’équipe de France mais celle d’Algérie : bris
matériels et violences, tous à l’encontre de « blancs » et de leurs biens, telle
se développe désormais une forme de terreur qui n’est pas sans rappeler celle
que déployaient les nervis nazis contre les Juifs ou encore les miliciens de
Vichy contre les habitants des agglomérations qui avaient eu le « malheur » de
porter assistance à des résistants.
Espérant
récupérer cette force de contestation de la société, les nostalgiques de la
gauche soixantehuitarde, défendent et justifient bien
entendu ces actes, comme d’une façon générale celui de tout agresseur à l’égard
de sa victime, seule véritable « coupable » à leurs yeux. Bien qu’ayant fait
largement leur beurre de leur rhétorique perverse, dans les médias notamment,
gauchistes, ils sont restés, terme tout à fait éclairant : de toute évidence, il
s’agit pour eux de gauchir toute forme de comportement « civilisé » pour assurer
une nouvelle forme de domination de l’homme en flattant
permis. Les surréalistes avaient du talent, mais comment ne pas voir là la
répétition du serpent tendant la pomme à Êve
?
Cette
scène initiale, pour ne pas dire initiatrice, fut à l’origine pour les croyants
de tous les maux qui suivirent pour l’humanité. D’entrée, sa représentation
marqua au plus profond les esprits et les incita à la conversion religieuse afin
de préserver l’au-delà. Comme telle, elle inspira les artistes en charge de
décorer nos cathédrales par fresques, sculptures et vitraux et, au-delà de ces
représentations, elle figura incontestablement en Occident le début de
l’aventure humaine ainsi qu’on se l’imaginait. Pourquoi vouloir renier cela
aujourd’hui, non pas au nom de la recherche d’une autre forme de spiritualité,
mais pour rabaisser la religion de nos pères à un obscurantisme de demeurés au
regard d’autres religions dont le prosélytisme a
toujours eu pour objet de dresser des peuples contre nous ? A-t-on oublié à ce
point que la conquête arabe précéda les croisades ? Sauf à refaire l’Histoire, ce à quoi s’emploient nos histrions qui se
prennent pour des intellectuels– en particulier ceux qui, sciant la branche sur
laquelle ils sont assis, créditent exclusivement l’Islam du transfert des connaissances qui ont permis l’essor
de l’Occident – l’Europe, et dans l’Europe la France,
autrefois désignée comme la fille aînée de l’Église,
ne peuvent éluder leurs racines judéochrétiennes;
c’est une évidence contre laquelle même les voltairiens ne peuvent aller.
Gavroche n’avait pas tort quand, allant chercher les cartouches des
soldats
morts devant les barricades, il chantait : « Je suis tombé
par terre, c’est la faute à Voltaire… ». Nous
voilà bien par terre, en effet !
Par
terre et dans une confusion malsaine, aux relents de l’éternelle guerre civile
dans laquelle se complaisent ceux qui refusent obstinément d’oeuvrer à un commun
projet de société, aussi satisfaisant que l’état du monde peut le permettre, et
qui préfèrent faire commerce d’oppositions stériles et permanentes à seule fin
de continuer d’exister politiquement et médiatiquement. On pourrait en rire,
mais profitant de cette indigence politicienne et pipole,
est désormais à l’oeuvre une stratégie machiavélique de groupes extrémistes qui
instrumentalisent entre autres (c’est la source d’inspiration de leurs rappeurs)
la revendication de régularisation de tous les immigrés clandestins – dont la
gauche de gouvernement a de son côté largement favorisé l’entrée sur le
territoire national– pour se constituer avec ce nouveau lumpenprolétariat un
futur électorat décisif quand la revendication de son droit de vote aura abouti.
Alors,
même si la forme « démocratique » est respectée, il n’y aura plus d’alternance
possible, et c’est bien là vers quoi l’on va si les dirigeants de notre pays n’y
prennent garde. À moins que, plus radical encore, l’extrémisme importé n’utilise
la rue pour imposer sa loi ! Alors, là, la messe sera dite pour encore plus
longtemps !
C’est
pourquoi il ne faut pas s’étonner que, gens aux idées simples pour qui le
Travail, la Famille et la Patrie sont des mots qui ont encore un sens malgré
l’usage dévoyé qu’en avait fait Vichy, d’aucuns, souvent qualifiés de majorité
silencieuse, aient quelque mal à se sentir encore chez eux quand ils voient
l’identité
française forgée par l’Histoire s’en aller à vau-l’eau
sous
l’action de mauvais « directeurs de conscience » que disqualifie pourtant
l’absence de la moindre honnêteté intellectuelle ; quand d’autre part pour les
ridiculiser, pour les déconsidérer, pour dresser contre eux les extrémistes les
plus radicaux, alors que bien souvent ils sont les créateurs des richesses sur
lesquelles ces autres vivent, ces mêmes « directeurs de conscience » font leur
ce sinistre calembour des sous-chiens.
Encore
une fois, que signifient cette haine tenace et ce racisme à l’envers dont les
manifestations et les provocations se font de plus en
plus fréquentes, voire meurtrières ? Les nazis n’avaient parlé que
d’Untermenschenpour
désigner les Juifs et autres races dites inférieures, mais le terme désignait
encore des créatures humaines. Les Français issus de générations anciennes –
d’origine majoritairement terrienne, faut-il le souligner – n’auront pas cet
honneur. Il faut les rabaisser à un rang qui n’est même pas celui d’un animal.
Après cela, sans que la chose soit dénoncée et poursuivie par les autorités de
notre pays, les mêmes continueront sans vergogne à appeler à combattre racisme
et discrimination… De qui se fout-on ? Décidément, il y a quelque chose de
pourri dans le« cher et vieux » pays du Général de Gaulle
!